Centre Culturel Algérien

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Dans le cadre de la célébration du 70^e anniversaire du 1^er Novembre 1954

En partenariat avec le Centre Culture Algérie à Paris

Entrée libre sur inscription : https://www.eventbrite.fr/e/billets-ali-djamila-1104978683989?aff=oddtdtcreator

Le rapport des peuples à leur histoire, leur passé, leur mémoire, est le thème de la pièce. Il s'agit d'historier le théâtre comme le fut la tragédie grecque pour la Guerre de Troie. Dans la pièce il s'agit de la guerre de trois personnages. le personnage du vieux chibani-militant qui est le coryphée qui ponctue l'histoire. Il en est le messager, le héros. Celui qui narre le déclenchement de la Révolution armée du 1er novembre 1954.

Ali et Djamila sont la jeunesse au sein de la généalogie, qui FAIT l'histoire de la Guerre de la Libération. Il ne s'agit pas seulement pour l'auteur de fétichiser une jeunesse résistante à l'ordre colonial, mais d'inventer, d'esthétiser un dispositif théâtral, comme le fit le regretté Jean Genet dans " Les Paravents " au Théâtre de l'Odéon en 1956.

La pièce ALI IT DJAMILA est autant celle du réalisme que celle de l'imaginaire. Sa vocation est d'être populaire et expérimentale, elle tient du passé ... et de l'avant-garde par sa forme. Son concept est celui de l'écrit et de l'écran, par un dispositif de caméras et vidéos. C'est ainsi que la pièce reconstitue un épisode de la Bataille d'Alger au sein de la Casbah, lors de la résistance armée de la zone autonome d'Alger (ZAA) dirigée par Larbi Ben M'Hidi et Youcef Saâdi.