Centre Culturel Algérien

Exposition – ateliers - spectacle hommage

Exposition : Entrée gratuite

Ateliers :  5 euros

Spectacle : 15 euros

Guem nous a quittés le 21 janvier 2021 mais son art et son œuvre continueront de nous accompagner. Venez découvrir ou redécouvrir l’homme aux mains d’or, l'un des percussionnistes les plus célèbres au monde, qui a valorisé les percussions et les a amenées sur le devant de la scène. Avec plus de 50 ans de carrière, une trentaine d’albums, des tournées internationales et des musiques diffusées aussi bien à la télévision, au cinéma, que dans les plus grands spectacles, défilés de mode et parcs d’attractions, nombreux sont ceux qui connaissent mieux ses mains que son visage, bien que chacun ait été bercé à son rythme.

programme de la journée hommage

Leila Borsali retrouvera son public au Centre Culturel Algérien où elle présentera deux spectacles musicaux qui feront le bonheur de ses fans.

Vendredi 7 janvier à 20h30 : Maachouq... معشوق, où la passion à travers le temps!

Découvrez ou redécouvrez les plus belles histoires d'amour, à travers des chants, des contes et des poésies: Wellada, Ibn Zeydoun, Souleyman Le Magnifique...et tant d'autres, seront à l'honneur!

Koum TARA ou l’histoire d’une rencontre du chaâbi et du jazz

KOUM TARA, nom renvoyant à la célèbre qassida éponyme du patrimoine musical andalou, est une rencontre de plusieurs univers musicaux, autour d’un même projet arrangé et composé par Karim Maurice.

COMPLET

Deux soirées en cette fin d’année 2021, avec l’inoxydable Abdelkader Chaou. Son public sera au rendez-vous comme il l’a toujours été.En effet, la salle du CCA affiche complet à chaque passage de cet artiste incontournable qui n’a pas perdu de son aura légendaire. Sa voix immuable son aisance sur scène font de lui l’éternel « jeune » chanteur...

Ce fils de la Casbah d’Alger né à Tigzirt a fait ses classes au Conservatoire d’Alger dirigé alors par El Hadj Mohamed El Anka. Il excelle dans la chanson chaâbi, sa voix chaude et grave sied parfaitement à ce mode musical. Début des années 70, il réalise ses premiers enregistrements sous la direction du maitre de l’époque Mustapha Skandrani. Il modernise le chaâbi en introduisant différents instruments comme le banjo, la guitare. Il remprunte au hawzi divers morceaux qu’il modernise. Le style « chaou » est né, et ne cesse d’évoluer.