Centre Culturel Algérien

Dans le cadre de la célébration du 60^e anniversaire de l’Indépendance

Avec la participation de l’historien Olivier Hadouchi  

Une guerre des images

Dès l’avènement du cinématographe, l’Algérie s’est illustrée comme un terrain de chasse pour les premiers cameramen, mais elle n’était présente qu’à travers sa lumière et sans la présence des Algériens. L’apparition des premiers films réalisés par des Algériens a précédé de peu le début de la lutte armée. Pour sa part et pour tenter de frapper les consciences des populations indigènes isolées, le gouvernement général a vite fait du cinéma une arme de propagande au service de l’action psychologique.

Dans le cadre de la célébration du 60^e anniversaire de l’Indépendance

Avec la participation de l’historienne Véronique Gazeau-Goddet, coauteur avec Trémor Quemeneur de l’ouvrage Mourir à Sakiet mis en vente-dédicace à l’issue de la rencontre

Environ 2 millions de soldats français sont partis en Algérie durant la guerre d’indépendance. Nombre d’entre eux se sont interrogés sur leur participation dans le conflit. Bernard Goddet en fait partie. Il est issu d’une famille conservatrice, chrétienne, et vient de terminer ses études d’HEC lorsqu’il est appelé sous les drapeaux fin 1956.

Dans le cadre de la célébration du 60^e anniversaire de l’Indépendance

Modérateur : Faris Lounis, enseignant et journaliste

Alger, 2 août 1936 : 15 000 personnes se retrouvent au Stade municipal à l’appel du Congrès musulman algérien à l’issue de ses négociations avec le gouvernement de Front populaire. S’imposant au meeting, Messali Hadj reçoit un triomphe lorsqu’au nom de l’Étoile nord-africaine, il proclame « Cette terre n’est pas à vendre ! » et appelle à un « Parlement algérien ! ».