Centre Culturel Algérien

Dans le cadre de la célébration du 64ème anniversaire du 1er novembre 1954

Avec la participation de Jacqueline Brenot, Abdelkader Djemaï, Kamila Sefta, Mourad Yelles.

Martine Mathieu-Job, modératrice, écrivaine, coordinatrive de l'ouvrage

Cinquante-deux femmes et hommes proposent un récit de leur scolarité en Algérie des années 1930 (pour les plus âgés) aux années 1960 (pour la majorité, jusqu'à l'Indépendance, pour certains un peu au-delà). Ces récits denses se recoupent sur certains points, tels le dévouement et l'impartialité manifestés par la majorité des enseignants de toute origine, mais se distinguent aussi sur d'autres. Les différences tiennent au type d'implantation de l'école (grande ville ou zone rurale...), et surtout à la période concernée.

Avec la participation de Jean-Charles Coulon, co-auteur, chargé de recherches à la section arabe de l’Institut de Recherche et d’Histoire des Textes (CNRS) et Ysabel Saïah-Baudis, Editrice de l'ouvrage, journaliste et écrivaine.

Né à Annaba (ancienne Bône, en Algérie) au XIIe siècle, al-Bûnî était un maître soufi qui reste, aujourd’hui, très populaire grâce au fameux traité Le soleil des connaissances (shams al-ma ‘ârif). Il demeure jusqu’à nos jours, le traité de sciences occultes le plus lu dans le monde arabo-musulman.

Avec la participation d' historiens et grands témoins, dont Nils Anderson, éditeur suisse de La Question après la censure de la publication des éditions de Minuit, Gilles Manceron, historien de la colonisation et membre du bureau de la Ligue des droits de l’homme, Alain Ruscio, historien spécialiste de l’histoire coloniale et Anissa Bouayed, historienne travaillant sur les représentations et commissaire de l’exposition.

Le Centre culturel algérien en partenariat avec l’association Art et mémoire au Maghreb propose une conférence pour accompagner l’exposition « L’Algérie pour mémoire. Témoignages autour de  La Question 1958-2018 » commémorant la parution en 1958 aux Editions de Minuit de ce texte essentiel dans lequel le journaliste Henri Alleg témoigne des tortures qu’il a subies à Alger comme tant d’autres Algériens et anticolonialistes engagés dans la lutte pour l’Indépendance.